Apres une plongée en 2016 dans l'univers de «Mona», épopée familiale à la fois intime et universelle, questionnant le monde et notre société, Emily Loizeau nous revient ici forte de ce voyage, de celui ardent et sur le fil du spectacle/disque « Run Run Run», hommage à Lou Reed, de ses engagements pour le climat et la cause migratoire et de tout ce que nous avons traversé ces dernières années.
Elle nous revient avec «ICARE», un disque écrit au cœur du confinement, enregistre en quarantaine en Angleterre avec le réalisateur et musicien John Parish (musicien et producteur de PJ Harvey). Il s'agira ici d'un journal de bord, d'un journal intime écrit en confinement mais avec un regard tourne vers le dehors. Le langage de ce spectacle sera donc exactement à l'image de tout cela : à la fois musical et physique, intime et incandescent, comme si le corps se mettait à parler quand la voix ne le peut plus, n'y arrive plus; comme si désormais il fallait, lui aussi, qu'il prenne ces questionnements à sa charge, les deux pieds dans un monde aride mais qu'il décide être prometteur.
Emily explorera à l'image de «Mona» une palette qui agrandit encore le cercle auteur de son piano dont elle ne cesse d'explorer les possibilités pour laisser place à un groupe au son rock et impétueux dont elle reste la figure de proue.
La presse en parle
« Libre comme Loizeau Il y a les artistes qui creusent leur sillon et ceux qui explorent sans cesse. Emily Loizeau est de ces insatiables voyageurs, qui nous entraînent à chaque disque dans une nouvelle odyssée. » Le Parisien
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